Lettre d’une mère de famille au conseil constitutionnel
Madame la Conseillère, Monsieur le Conseiller,
Je suis mère de famille, grand-mère de deux petits enfants en bas âge, une simple fille de France d’habitude éloignée de l’agitation politique qui traverse quotidiennement notre pays.
Cette fois-ci, l’affaire qui occupe le devant de la scène, et dont le sort vous est confié en dernier recours, me conduit à vous écrire – pour la première fois de ma vie – pour tenter d’infléchir un tant soit peu le cours des choses.
Le défi historique que nous affrontons aujourd’hui couvre à mon sens trois enjeux : sanitaire, économique et civilisationnel.
En premier lieu, et sans minimiser sa dangerosité, nous avons affaire à un virus qui tue peu (1 personne sur 2000 au niveau planétaire), qui a tué à ce jour 50 fois moins – à population comparable – que la grippe espagnole du siècle dernier.
En France, la moyenne d’âge des décès frôlerait l’espérance de vie (82 ans) ; le virus s’attaque donc à des personnes généralement en fin de vie, et le plus souvent atteintes de facteurs de comorbidité.
Quant à la courbe de mortalité, elle est aujourd’hui de 20-25 décès/jour, ce qui représente 1% des décès journaliers (le cancer tue 20 fois plus).
Concernant les mesures proposées, le « tout vaccin » me semble bien aventureux : les pays les plus vaccinés voient une recrudescence des cas : Israël, pays vacciné s’il en est, évoque même un nouveau confinement (!) ; et non seulement ces vaccins protègent mal, mais ils n’empêchent pas la transmission du virus : les personnes vaccinées sont toujours affublées de masques.
En outre, nous avons affaire au déploiement mondial de nouvelles technologies « géniques » peu validées, dont les effets secondaires commencent seulement à apparaître et dont on ignore complètement les effets sur le moyen et long terme ; et les laboratoires et gouvernements sont exemptés de responsabilité si ça tourne mal (!).
Et quid des traitements préventifs (vitamines D,..) et curatifs (Ivermectine, récemment validée par Pasteur) et des suppressions de lits d’hôpitaux ? Pourquoi une telle omerta sur ces sujets ? les 170 milliards d’euros consacrés à indemniser le chômage partiel en 2020 n’auraient-ils pu être partiellement employés en la matière ?
Concernant l’économie, la cause est entendue : nul n’est besoin d’être agrégé en économie pour anticiper les multiples faillites à venir et une dette devenue insoutenable pour les générations futures.
Quel monde souhaitons-nous laisser à nos enfants ? M. Macron avait juré que jamais nous n’aurions le « pass sanitaire » qui est ni plus ni moins, chacun l’a compris, une obligation vaccinale pour tous, et en particulier pour les jeunes qui ne sont majoritairement pas des personnes à risque.
Et que penser de cette obligation faite aux soignants de se faire vacciner alors que d’autres corporations en contact permanent avec le public (la police, …) en sont exemptées ? Nos parlementaires, dont on pourrait attendre qu’ils donnent l’exemple, en seraient également exemptés.
En définitive, ce qui se trame ressemble étrangement à l’instauration d’un monde de surveillance généralisé où les libertés publiques et privées seraient allègrement piétinées ; je suis tombée hier sur un rapport du Sénat qui m’a littéralement pétrifiée !
Et ceci pour assurer 1 à 2 ans de vie supplémentaire à des personnes en fin de vie au détriment de la jeunesse qui a pris le parti de ne plus se rendre aux urnes ; je parle en connaissance de cause ; mon beau-père serait mort de ce virus – avec facteurs de comorbidité avérés – mais je peux vous affirmer qu’il n’aurait jamais toléré le sacrifice de toute cette jeunesse pour prolonger d’un iota son existence.
Je vous implore, comme citoyenne de France, comme mère et grand-mère, de faire valoir ces quelques arguments devant vos pairs pour trouver une issue raisonnable à cette situation ; je pense à la Suède qui n’a quasiment pas confiné, qui n’a pas laminé son économie, dont le taux de mortalité lié au covid est 15% moindre qu’en France, qui s’est contentée de demander aux plus fragiles de se protéger – vaccin à l’appui pour ceux qui le désirent, en consentement éclairé – et aux autres de prendre soin des plus fragiles.
J’ai été un peu longue mais de tels enjeux ne peuvent à mon avis être expédiés à la sauvette, dans des hémicycles à 60% vides, et à la veille des congés.
Je compte sur votre sagesse et vous prie de recevoir, Madame la Conseillère, Monsieur le Conseiller, ma respectueuse considération.
F. mère de famille (nous protégeons l’anonymat de cette mamam qui nous a adressé cette magnifique lettre afin que nous la publions sur ce blog de médecine libre). Vous pouvez la diffuser autour de vous et vous en inspirer bien -sûr. Il en va de nos libertés face à ce pass sanitaire, pass de la honte qui instaure de fait une obligation vaccinale déguisée, masquée .
Face à la peur, diffusez la joie et l'espérance !
Peur du virus ? Fallait pas sortir de l'utérus !