Paludisme, une solution économique et naturelle ?

Le Paludisme ou malaria (mauvais air) est une maladie tropicale qui tue encore trop d’enfants en Afrique mais qui peut aussi faire mourir les touristes occidentaux qui se rendent en pays impaludé.

200 millions de nouveaux cas chaque année

500 000 morts / an, essentiellement des enfants africains.

La prévention est essentiellement chimique par la prise de médicaments mais qui ont de plus en plus d’effets secondaires. De plus le parasite plus intelligent que les médicaments s’est adapté n’est plus sensible à la chloroquine le premier médicament anti paludéens et devient résistant à ces médicaments.

Le traitement est également essentiellement chimique mais avec de plus en plus de résistance. Le problème en Afrique c’est que un médicament sur deux est frelaté ou contrefait et n’est donc pas efficace, que de plus en plus de crises de paludisme sont résistantes à ces traitements chimiques et que ces médicaments coûtent trop chers pour ces populations trop pauvres.

La voie chimique de la prévention et du traitement du paludisme et donc dans une impasse.

On nous promet un vaccin depuis belle lurette mais ce vaccin n’est pas encore au point et ne sera jamais assez efficace pour éradiquer le paludisme et de plus sera beaucoup trop cher pour ces populations trop pauvres et risquera d’induire d’autres maladies comme dans le cadre de l’éradication de la variole qui a fait apparaître le sida.

Or il existe une plante qui est utilisée en Chine depuis plus de 2000 ans, sans effet secondaire et qui permet de traiter les fièvres récurrentes comme le paludisme. Cette plante est une astéracée , une armoise qui s’appelle l’Artemisia annua.

Cette plante a valu en 2015 le prix Nobel de Médecine à une chinoise Tu Youyou qui a analysé les constituants de cette plante et isolé l’artémisinine un des principes actifs de cette plante efficace sur le plasmodium, le parasite du paludisme.

L’artémisinine a un effet remarquable contre le parasite plasmodium du paludisme. Efficace dans 90 % de cas de traitement des crises aiguës de paludisme. Tout aussi efficace en prévention.

Des laboratoires ont extrait l’Artémisinine. Ils vendent des médicaments contenant cette seule molécule d’artémisinine. C’est toujours le même problème : quand on extrait une seule molécule d’une plante qui en contient plus de 500, on diminue l’effet thérapeutique de la plante et il apparaît des résistances à cette molécule unique, ce qui réduit l’efficacité de ces comprimés d’artémisinine seule. Des médicaments combinant plusieurs molécules dont l’artémisinine ont été mis au point,  ils s’appelle ACT (Artémisine Combined Therapy) mais ils sont chers pour ces populations pauvres et sont moins efficace que la plante entière.

Il faut savoir qu’il y a deux types de plantes :  la plante chinoise Artemisia Annua et la plante africaine Artemisia Afra . Or la plante africaine ne contient pas ce principe active l’Artémisinine et est aussi efficace sur le paludisme que la plante chinoise qui en contient. C’est donc bien l’ensemble des molécules contenues dans la plante (on a recensé plus de 400 composants dans la plante, plus de 20 sont antipaludiques), donc la totalité de la plante ou la plante entière qu’on appelle le totuum qui explique l’efficacité de ces deux plantes. 

L’avantage de la plante en entier, c’est que les molécules qui ont un effet sur le plasmodium vont agir en synergie et que le plasmodium ne pourra pas ainsi développer des résistances à l’ensemble de ces molécules; il pourra développer des résistances à une molécule mais pas à l’ensemble des molécules, cela fait donc un traitement efficace qui n’entraîne pas de résistance. 

Vouloir donc extraire une seule molécule pour la breveter et engranger des millions de bénéfices en vendant ce seul principe actif est une erreur.

C’est ce qui explique la progression du paludisme en Afrique. Et l’importance de la mortalité qui laisse ainsi sur le carreau plus d’un demi-million d’enfants chaque année pour la plus grande indifférence des occidentaux.

Tout cela est du bon sens mais pourquoi l’Artemisia n’est pas plus utilisée pour la prévention et le traitement du paludisme ?

C’est qu’il y a un immense marché financier et que le paludisme représente un marché porteur pour les laboratoires pharmaceutiques de big Pharma.

L’OMS est le principal frein au développement de l’Artemisia

Il y a 50 ans, 50 % du budget de l’OMS venait des contributions publiques des grands États membres. Depuis 20 ans ces contributions ont considérablement baissé pour ne représenter plus que 20 % du budget de l’OMS. 

80 % du budget de l’OMS vient désormais des multinationales du médicament et de fondations privées dont la fondation Bill et Melinda Gates qui prône les vaccins et les médicaments contre le paludisme en Afrique notamment.

L’OMS n’est donc plus l’organisation mondiale de la santé, indépendante, mais véritablement l’organisation pour la généralisation mondiale des médicaments de big Pharma.

En France l’Artemisia annua est une plante interdite en vente dans les herboristeries et les pharmacies, toujours par pression des lobbys qui vendent les médicaments chimiques et qui ne veulent pas en France que les Français se traitent par des plantes souvent plus efficaces, et l’OMS en Afrique empêche les Africains de se soigner par l’artémisia beaucoup moins chère et moins toxique.

« L’artémisia est interdite en France, pourtant elle n’est pas toxique et ce n’est pas une drogue. L’artémisia n’est dangereuse que pour ceux qui font de la malaria un business. » citation du film malaria Business de Bernard Crutzen.

Pour ceux qui vont partir en Afrique ou dans les pays d’Asie du sud est où règne le paludisme et qui ne veulent pas prendre le Lariam, médicament ayant beaucoup trop d’effets secondaires, voici mes conseils.

Procurez-vous de l’Artemisia. Plantes entières séchées en poudre ou feuilles et tiges ensemble.

Tisane préventive d’artémisia pour touristes se rendant en région impaludée :

5g de feuilles soit une grosse poignée de feuilles et tiges ou une bonne cuillère à soupe de poudre verte pour 1 litre d’eau. Verser l’eau bouillante sur les feuilles et laisser infuser 15mn.  Filtrer, puis laisser refroidir.. Boire 1 l/jour. De la veille du voyage jusqu’à une semaine après le retour.

En conclusion : nous avons une plante bi-millenaire que la nature met à notre disposition pour combattre les fièvres dues aux moustiques des régions chaudes.

Ces fièvres sont à l’origine de la mort d’un demi-million d’enfants pauvres essentiellement africains chaque année. Pour des intérêts privés et bassement mercantiles,  l’organisation mondiale de la santé freine la diffusion de cette plante économique en attendant l’arrivée d’un soi-disant vaccin qui permettra d’engranger des milliards de dollars de bénéfices.

C’est du colonialisme pur et simple. Car la mise en culture locale de cette plante crée des emplois locaux,  alors que la généralisation du vaccin va rendre encore plus dépendante des populations africaines déjà trop dépendante d’un modèle économique basé sur la prédation de leurs ressources et la corruption de leurs élites.

Plus d’infos sur :

– le site de ma consœur Orthodontiste, le docteur Lucile CornetVernet qui a créé la maison de l’Artemisia et qui œuvre avec plus d’une cinquantaine de scientifiques à la généralisation de la culture de l’Artemisia en Afrique. https://maison-artemisia.org/

– Les études cliniques qui démontrent la supériorité de la prévention et traitement du paludisme  par l’artémisia sur les médicaments chimiques. https://maison-artemisia.org/Maison-Artemisia-Cliniques.pdf

– un film réalisé par un réalisateur belge malaria business qui permet en 1h30 de découvrir tous les dessous du business de la malaria et des solutions naturelles qui sont à notre disposition. Film malaria Business de Bernard Crutzen.

Dans ce film figure une étude en double aveugle entre médicaments chimiques ACT et tisane d’Artemisia : alors que les médicaments ACT sont à 80 % efficaces, la tisane est efficace à 99 % avec disparition complète du parasite dans le sang.

Dr Pascal Trotta, 
Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Médecin Spécialiste, Radiologue, homéopathe, Fondateur de l’Institut de Médecine Naturelle de Saint Sébastien
Paseo de los Fueros 3, 20005 San Sebastián, Pays Basque

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