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L'oxygénation cellulaire


L’OXYGENE AU COEUR DE NOS PROCESSUS VITAUX

Tout commence par l’inspiration
L’air qui nous entoure contient environ 21% d’oxygène. Lorsque nous inspirons, il pénètre dans les voies respiratoires jusqu’aux confins des alvéoles pulmonaires. Nos poumons renferment 300 à 450 millions de ces minuscules sacs aux parois extrêmement fines représentant une surface de 100 m2. Les échanges gazeux se font à travers cette paroi irriguée par les capillaires sanguins : l’oxygène de l’air diffuse dans le sang. Dans le même temps, celui-ci relâche le gaz carbonique dont il est chargé.

L’hémoglobine assure le transport
Dans le sang, plus de 95% de l’oxygène se fixent sur l’hémoglobine, protéine majoritaire des globules rouges, qui lui sert de transporteur. Au gré du flot sanguin, l’hémoglobine libère l’oxygène qui pénètre alors dans les cellules. En échange, elle capte le gaz carbonique, déchet de la respiration cellulaire, et le transporte jusqu’aux poumons où il est éliminé dans l’air expiré.

La mitochondrie fournit l’énergie
Cet organite intracellulaire est considéré comme la centrale énergétique de la cellule. C’est là que se déroulent les dernières étapes du cycle respiratoire qui convertissent les molécules organiques issues de la digestion, en énergie directement utilisable par la cellule (ATP). En présence d’oxygène, une molécule de glucose peut donner 36 unités d’énergie (ATP) et seulement 2 unités en son absence.

 

QUAND L’OXYGENE VIENT A MANQUER
L’obstacle des polluants
Les polluants, présents dans l’atmosphère des zones urbaines ou industrielles, réduisent la quantité d’oxygène disponible dans les tissus. En tapissant les voies respiratoires, ils freinent les échanges gazeux. Certains d’entre eux, comme le monoxyde de carbone, vont jusqu’à prendre la place de l’oxygène sur l’hémoglobine ! Dans tous les cas, l’efficacité de la respiration est diminuée. A ces entraves, s’ajoute l’impact du mode de vie actuel où stress et chocs émotionnels engendrent des chutes de la tension artérielle, donc de l’oxygénation.

Les caprices de l’oxygénation
Même si elle a bien capté son oxygène, l’hémoglobine ne le délivre aux cellules que sous certaines conditions, en particulier de température, d’acidité (pH) ou de teneur en gaz carbonique. Ainsi, il suffit que la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère dépasse 0,06% pour que l’organisme entre en hypoxie (insuffisance d’oxygène au niveau cellulaire). Or, c’est presque toujours le cas dans les rues des grandes villes où ce taux oscille entre 0,09 et 0,14%.

Le métabolisme s’altère
Le déficit d’oxygène dans les tissus induit un ralentissement de la production énergétique. Conséquence : les réactions biochimiques d’assimilation et de transformation des nutriments sont incomplètes. Les déchets, mal éliminés, s’accumulent, intoxiquant progressivement l’organisme. Le cerveau et le système nerveux central, les plus gros consommateurs d’oxygène, sont les premiers touchés par la baisse de sa disponibilité. D’où le déclenchement de plusieurs signaux d’alarme : fatigue chronique, nervosité, défaillance de la mémoire.

La cellule subit un double stress
L’excès d’oxygène comme le manque sont dangereux pour la cellule. Le premier génère des radicaux libres, molécules très réactives et destructrices des structures organiques. L’hypoxie va plus loin… Elle provoque un dysfonctionnement de la mitochondrie qui ne peut plus fournir d’énergie et fabrique des radicaux libres en plus grande quantité, entraînant de surcroit une dégradation des systèmes de défense antiradicalaire, soit un double stress pour la cellule.

La maladie s’installe
Lorsque cette situation d’hypoxie perdure, la majorité des fonctions corporelles est perturbée. La perte de vitalité ouvre la voie à l’apparition de pathologies telles que troubles cardiaques et circulatoires, hépatites chroniques, athérosclérose, voire de maladies plus graves comme le cancer et autres pathologies dégénératives.

 

 

Respirer avec plus d’efficacité
Comment lutter contre l’hypoxie et stimuler l’assimilation de l’oxygène par la cellule?

Comment améliorer à la fois son transport dans le sang et sa libération dans les tissus afin d’assurer à l’organisme une oxygénation cellulaire optimale ?

Conscient du fait que la simple augmentation de la quantité d’oxygène respiré n’est pas la solution, René Jacquier cherchait un support naturel, facilement accessible, transformable en porteur d’oxygène et connu de manière suffisamment universelle pour que l’ancienneté de son usage soit le garant de son innocuité.

Constatant que depuis l’antiquité, les lieux de santé se trouvent au sein des forêts de pins et de sapins et d’observations en expériences, il trouve dans les essences de résines de pin la réponse à ses questions.