La vérité sort souvent de la bouche des gens simples et de bon sens.
Cette image n’est pas du Dr Trotta mais d’une manifestante rencontrée lors des magnifiques manifestations de juillet et août au Pays basque à Bayonne contre le pass de la honte.
Après l’annonce du 12 juillet du « variant Macron » déviant la démocratie vers un régime de surveillance et d’apartheid, de nombreuses personnes ont manifesté à juste titre contre ce changement brutal, inouï, illégal, anticonstitutionnel contre notre liberté, notre pacte social.
Cette image révèle bien l’enjeu de ce qui est en train de se passer.
En l’échange de la liberté, des millions de personnes ont été se faire injecter, une dose puis deux doses.
Et ce qui devait arriver est arrivé : nous en sommes après un an d’injection forcées, à plus de 1200 morts en France par vaccination covid en moins d’un an*, pour des gens qui ne seraient jamais morts de la maladie contre laquelle on veut les protéger.
Car rappelons-le, cette maladie virale touche les personnes très âgées de plus de 80 ans et fragiles, ayant des comorbidités, c’est-à-dire des maladies d’organes vitaux comme les reins le cœur le foie ou les poumons.
Nous rappelons que seulement 2 % des personnes hospitalisées lors de la vague Covid de mars 2020 étaient atteintes de Covid.
Il ne s’agit donc ni de l’Ebola ni de la grippe espagnole ni d’une pandémie.
Toutes les images de personnes en détresse respiratoire en réanimation montrées à la télévision, le comptage indécent des morts pas le directeur général de la santé, le sinistre Salomon, le confinement abusif de la population entière pendant plusieurs mois, les couvre feu illégaux, les injonctions contradictoires pour et contre le masque, les publicités scandaleuses à la télévision montrant que les grands-parents pouvaient mourir s’ils embrassaient leurs petits-enfants et que ensuite grâce aux injections il pouvaient de nouveau les embrasser ont poussé des Françaises et Français trop nombreux à recevoir sans discernement, sans réflexion, des injections expérimentales.
Rappelons que ces injections sont intramusculaire et irréversibles.
Que certaines sont faites en intra-vasculaire car toutes les précautions ne sont pas prises.
Et que selon les dernières informations d’un chimiste allemand, le docteur Andreas Noack, mort quelques jours après la diffusion de cette vidéo explicite*, montre que dans ces substances expérimentales, on trouve manifestement de l’hydroxyde de graphène qui est un « Nano rasoir » lésant les épithéliums et pouvant entraîner ces mort subites.
Vous avez tous entendu parler autour de vous d’une augmentation inquiétante de mort subite par infarctus, AVC, ou avez vu des images de gens s’écroulant sur des stades de foot, des terrains de sport, face à des caméras, et ceci pour une infirmière juste après l’injectionVous avez tous entenduVous avez tous entendu parler autour de vousVous avez tous entendu parler autour de vous d’une augmentation, alors qu’elle venait de vanter la vaccination et que sa vaccination était filmée à titre de propagande et qu’elle s’est écroulée et est morte quelques temps après.
On peut concevoir que des adultes puissent participer à une expérimentation, et d’ailleurs le gouvernement et les laboratoires se défaussent de leur responsabilité en leur faisant signer une décharge et on ne rendant pas à cette vaccination obligatoire. Car le code de Nuremberg interdit de rendre obligatoire un traitement en expérimentation. Et que si les autorités le rendent obligatoire, les laboratoires et le gouvernement seront responsables de tous ces effets secondaires, ce qu’iln ne veulent absolument pas.
Donc si l’on conçoit que des adultes puissent participer de leur plein gré à une expérimentation, on ne peut concevoir de forcer des enfants à participer à cela. Il est question de généraliser ces injections à la tranche d’enfants de 5 à 11 ans. C’est inadmissible. Les enfants ont plus de chance de gagner au loto que de mourir du Covid.
Et l’inadmissible est arrivé : on « vaccine » maintenant des femmes enceintes, on injecte maintenant ces substances expérimentales à des femmes enceintes. Avec nombreuse fausses couches et mort in utéro suite à ces injections. Avortement thérapeutique ?
Tout cela pour vous faire réfléchir à la folie des adultes, à la folie de big Pharma, à la folie de l’obéissance passive et servile à toutes ces injonctions d’injections.
« Une dose, deux doses, thrombose » est un slogan que vous pouvez reprendre pour faire réfléchir tout le monde.
ou alors celui-ci encore plus percutant pour faire réfléchir : « 1,2,3..doses, overdose ». Car en toxiclogie, c’est la dose qui fait le poison.
Ces thromboses peuvent être dues soit à la protéine Spike soit à l’hydroxyde de Graphène, soit à d’autres facteurs en cours d’élucidation.
L’Omerta est de mise pour ne pas faire connaître à la population l’augmentation de la mortalité et des cas graves chez ceux qui ont reçu ces injections.
Une personne de plus de 80 ans qui meurt suite à cette injection on peut comprendre c’est son choix.
Mais un enfant, un mineur qui n’a pas la possibilité de s’y opposer et qui est forcé par des adultes à recevoir un poison ça c’est un viol, c’est une atteinte inadmissible à l’innocence de l’enfance et à son droit le plus sacré à la santé.
Car il n’a aucun risque de mourir de ce virus, rappelons le.
Protégeons nos enfants !
Dr Pascal Trotta,
Ancien Interne des Hôpitaux de Paris,
Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris V
Médecin Spécialiste, Radiologue, Homéopathe, Fondateur de l’Institut de Médecine Naturelle de Saint Sébastien
Institut de Médecine Naturelle du Dr Trotta
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